Étude ROCSAN : étude de phase 2-3, randomisée évaluant le TSR-042 (anti-PD-1 mAb) associé au niraparib par rapport au niraparib seul ou à une chimiothérapie, chez des patientes ayant un carcinosarcome métastasique ou en récidive de l’ovaire ou de l’endomètre après une chimiothérapie de première intention.
Mis à jour le
Type(s) de cancer(s) :
- Carcinosarcome en progression ou récidivant de l’endomètre, de l’ovaire ou des trompes de Fallope, et ayant reçu au moins un traitement à base de platine.
Spécialité(s) :
- Thérapies Ciblées
Sexe :
femmes
Catégorie âge :
Supérieur ou égal à 18 ans.
Promoteur :
Groupe ARCAGY-GINECO
Etat de l'essai :
clos aux inclusions
Collaborations :
Groupe des Investigateurs Nationaux pour l'Étude des Cancers de l'Ovaire et du Sein (GINECO)
Avancement de l'essai :
Ouverture prévue le : 15/01/2020
Ouverture effective le : 15/07/2020
Fin d'inclusion prévue le : 15/12/2024
Fin d'inclusion effective le : -
Dernière inclusion le : -
Nombre d'inclusions prévues:
France: 120
Tous pays: 196
Nombre d'inclusions faites :
France: -
Tous pays: -
Nombre de centre prévus :
France: 20
Tous pays: 80
Résumé
Le cancer de l'ovaire est le huitième cancer le plus répandu chez les femmes et son diagnostic s'établit généralement à un stade avancé. Les cancers de l’ovaire se développent à partir de cellules qui composent les ovaires. Dans 90 % des cas, ce sont les cellules épithéliales situées à la surface externe des ovaires qui sont touchées : on parle dans ce cas d’adénocarcinome. Le traitement des cancers de l’ovaire repose principalement sur la chirurgie, qui vise à supprimer la totalité de la tumeur et de ses éventuelles extensions en dehors des ovaires. Une chimiothérapie peut être nécessaire, soit avant la chirurgie pour réduire la taille de la tumeur et faciliter son extraction, soit après la chirurgie, pour la compléter et limiter les risques de récidive. 1. Le cancer de l'endomètre, appelé aussi cancer du corps utérin, est le cancer qui se développe à partir de l'endomètre qui est le tissu de l'utérus où se produit la nidation. Au sens strict, ce terme générique désigne l'ensemble des tumeurs malignes (cancer) de l'endomètre. Dans l'usage, il désigne l'adénocarcinome de l'endomètre. Le cancer peut apparaître dans n’importe lequel des différents types de cellules présents dans les trompes de Fallope. Le cancer de la trompe de Fallope survient le plus souvent dans les cellules glandulaires qui se trouvent dans le revêtement des trompes. Ce type de cancer, appelé adénocarcinome de la trompe de Fallope, est semblable au carcinome séreux de l’ovaire. Le niraparib est un traitement qui tue les cellules cancéreuses en bloquant une protéine impliquée dans la réparation de leur ADN. Le TSR-042 est un médicament dirigé contre la protéine PD-1 présente à la surface des lymphocytes T, cellules clés du système immunitaire. PD-1 est impliquée dans la régulation de la réponse immunitaire lorsqu'elle est activée par son ligand. Ces points de contrôle immunitaires fonctionnent généralement pour maintenir le système immunitaire sain en répondant aux menaces extérieures. Dans certains cancers, ces points de contrôle sont détournés par la tumeur et lui permettent d'échapper à la réponse immunitaire. TSR-042 se lie à PD-1, bloquant l'interaction de PD-1 avec son ligand. Ainsi, la tumeur devient visible pour le système immunitaire et peut être ciblée pour être détruite. La chimiothérapie est un traitement systémique du cancer qui vise à éliminer les cellules cancéreuses quel que soit l’endroit où elles se trouvent dans le corps y compris celles qui n’ont pas été repérées par les examens d'imagerie. La chimiothérapie par voie générale agit soit en les détruisant directement, soit en les empêchant de se multiplier. L’objectif de cette étude est d’évaluer le TSR-042 (anti-PD-1 mAb) associé au niraparib par rapport au niraparib seul comparé à la chimiothérapie chez des patientes ayant un carcinosarcome métastasique ou en récidive de l’ovaire ou de l’endomètre après une chimiothérapie de première intention. L’étude se déroulera en 2 étapes. Lors de la 1ère étape, les patientes seront réparties de manière aléatoire en 3 groupes de traitement : Les patientes du 1er groupe recevront du niraparib PO (par voie orale) à dose fixe quotidienne seul. Les patientes du 2ème groupe recevront du niraparib associé à du TSR-042 tous les 21 jours. Les patientes du 3ème groupe recevront une chimiothérapie laissée à la discrétion de l’investigateur (paclitaxel, doxorubicine liposomale pegylée (PLD), topotécan, gemcitabine). Le groupe de traitement (1er ou 2ème) obtenant la meilleure réponse, sera sélectionné pour l’étape 2. Lors de cette 1ère étape, les patientes seront suivies pendant 4 mois. Lors de la 2ème étape, les patientes seront réparties de manière aléatoire en 2 groupes de traitement : Les patientes du 1er groupe recevront le traitement ayant obtenu la meilleur réponse à l’étape 1 entre le 1er ou 2ème groupe. Les patientes du 2ème groupe recevront le même traitement que les patients du 3ème groupe de la 1ère étape. Lors de cette étape, les patientes seront suivies pendant 18 mois. Les patientes seront traitées jusqu’à progression, intolérance inacceptable ou retrait du consentement.
Population cible
- Type de cancer : thérapeutique
- Sexe : femmes
- Age : Supérieur ou égal à 18 ans.
Références de l'essai
- N°RECF : RECF4120
- EudraCT/ID-RCB : 2019-002662-12
- Liens d'intérêt : http://clinicaltrials.gov/show/NCT03651206
Caractéristiques de l'essai
- Type de l'essai : thérapeutique
- Essai avec tirage au sort : Oui
- Essai avec placebo : Non
- Phase : 2-3
- Etendue d'investigation : multicentrique - France
Contacts de l’essai
Scientifique de l'essai
Aurélie PAILHE
8 rue de Lamennais,
75008 Paris,
01 84 85 20 20
Détails plus scientifiques
Titre officiel de l’essai : Etude de phase II/III, randomisée, multicentrique évaluant le TSR-042 (anti-PD-1 mAb) associé au niraparib versus le niraparib seul comparé à la chimiothérapie chez des patientes atteintes d’un carcinosarcome métastasique ou en récidive de l’ovaire ou de l’endomètre après une chimiothérapie de première intention.
Résumé à destination des professionnels : Il s’agit d’une étude de phase 2-3, randomisée et multicentrique. L’étude se déroule en 2 étapes. 1- Étape 1 : les patientes sont randomisées en 3 bras de traitement. - Bras A : les patientes reçoivent du niraparib PO à dose fixe quotidienne, de préférence le matin en monothérapie. - Bras B : les patientes reçoivent du niraparib PO en association avec du TSR-042 en IV à J1 de chaque cure de 21 jours. - Bras C : les patientes reçoivent une chimiothérapie en IV à la discrétion de l’investigateur (paclitaxel, doxorubicine liposomale pegylée (PLD), topotécan, gemcitabine). Le bras de traitement obtenant la meilleure réponse au traitement entre le bras A et le bras B est sélectionné pour l’étape 2. Les patientes sont suivies pendant 4 mois. 2- Etape 2 : les patientes sont randomisées en 2 bras de traitement. - Bras D : les patients reçoivent le traitement ayant obtenu la meilleure réponse à l’étape 1 entre le bras A et le bras B. - Bras E : les patients reçoivent le même traitement que les patientes du bras C de l’étape 1. Les patientes sont suivies pendant 18 mois. Les examens comprennent notamment une évaluation tumorale et des questionnaires sur la qualité de vie. Les patientes sont traitées jusqu’à progression de la maladie, toxicité inacceptable ou retrait du consentement.
Objectif(s) principal(aux) : - Phase II : Déterminer la meilleure stratégie thérapeutique entre les 2 bras de traitement. - Phase III : Comparer la survie globale.
Objectifs secondaires :
- Approfondir l’évaluation du profil de sécurité global du meilleur bras expérimental comparé à la chimiothérapie seule.
- Comparer l’activité antitumorale entre la meilleure stratégie expérimentale et la chimiothérapie seule standard.
- Comparer le bénéfice clinique entre la meilleure stratégie expérimentale et la chimiothérapie seule.
- Comparer la survie sans progression (PFS2 – délai entre la randomisation et la seconde progression) entre la meilleure stratégie expérimentale et la chimiothérapie seule.
- Comparer les effets des traitements sur les symptômes rapportés par les patients et la qualité de vie.
Critères d’inclusion :
- Femme, âge ≥ 18 ans.
- Carcinosarcome en progression ou récidivant de l’endomètre, de l’ovaire, des trompes de Fallope, ou du péritoine (tumeurs de Muller malignes mixtes, MMMT).
- Diagnostic primaire confirmé histologiquement. Une revue en centralisé de la tumeur initiale ou de la biopsie de la maladie en récidive sera effectuée.
- Échantillon tumoral obligatoire : disponibilité d’un bloc de tumeur en paraffine de moins de 3 mois, ou possibilité de réaliser une nouvelle biopsie.
- Maladie en progression selon RECIST 1.1, dans les 12 mois suivant la dernière cure de chimiothérapie.
- Échec après au moins 1 traitement à base de platine, éventuellement administré en traitement adjuvant.
- Patientes ayant reçu un traitement par chimiothérapie pour la prise en charge du carcinosarcome, pouvant inclure une chimiothérapie, une chimiothérapie et une chimio-radiothérapie, et/ou un traitement de consolidation/d’entretien.
- Les patientes recevant un traitement par corticostéroïdes peuvent poursuivre leur traitement, si leur dose est stable et ≤ 10mg/jour (dose équivalente prednisone) au minimum depuis 4 semaines avant de débuter le traitement de l’étude.
- Les patientes doivent accepter de ne pas donner leur sang pendant la durée de l’étude et durant les 90 jours suivant la dernière dose de traitement de l’étude.
- Espérance de vie > 2 mois.
- Indice de performance < 2 (OMS).
- Fonction hématologique : polynucléaires neutrophiles ≥ 1,5 x 10^9/L, plaquettes ≥ 100 x 10^9/L et hémoglobine ≥ 9 g/dL.
- Fonction hépatique : bilirubine totale ≤ 1,5 x LNS (≤ 2 x LNS dans le cas de syndrome de Gilbert ou ≤ 3 x LNS dans le cas de métastases hépatiques ou bilirubine directe ≤ 1 x LSN), phosphatase alcaline ≤ 2,5 x LNS, albumine sérique ≥ 3 g/dL et transaminases ≤ 2,5 x LNS (≤ 5 x LNS dans le cas de métastases hépatiques).
- Fonction rénale : clairance de la créatinine ≥ 60 mL/min (formule de Cockcroft-Gault) ou créatinine sérique ≤ 1,5 x LNS.
- Fonction de coagulation : INR ou PT ≤ 1,5 x LNS et TCA ≤ 1,5 x LNS, sauf si les patientes reçoivent un traitement anticoagulant tant que le PT ou la thromboplastine partielle (PTT) sont dans la plage thérapeutique prévue pour l’utilisation d’anticoagulants.
- Contraception efficace pour les patientes en âge de procréer pendant la durée de l’étude et au moins 180 jours après la dernière dose de traitement de l’étude.
- Patiente affiliée ou bénéficiaire d’un régime de sécurité sociale.
- Consentement éclairé signé.
Critères de non inclusion :
- Métastase symptomatique du SNC ou carcinomateuse leptoméningée.
- Maladie cardiovasculaire cliniquement significative, par ex. anomalies significatives de la conduction cardiaque, hypertension non contrôlée, infarctus du myocarde, arythmie cardiaque non contrôlée ou angor instable < 6 mois avant l’inclusion dans l’étude, insuffisance cardiaque congestive de grade ≥ 2 selon la NYHA, arythmie cardiaque grave nécessitant un traitement, pathologie vasculaire périphérique de grade ≥ 2, et antécédent d’accident vasculaire cérébral dans les 6 mois.
- Symptômes ou signes d’obstruction gastro-intestinale, nécessitant une nutrition ou une hydratation parentérale, ou tout autre trouble ou anomalie gastro-intestinale.
- Maladie auto-immune active qui a nécessité un traitement systémique dans les 2 dernières années (c’est-à-dire en utilisant des agents modificateurs de la maladie, des corticostéroïdes, ou des immunosuppresseurs). Un traitement de substitution (par ex. la thyroxine, l’insuline, ou les traitements physiologiques de substitution aux corticostéroïdes pour insuffisance surrénale ou hypophysaire, etc.) n’est pas considéré comme une forme de traitement systémique.
- Antécédent de pneumopathie interstitielle.
- Patiente ayant un diagnostic d’immunodéficience, ou ayant reçu un traitement par stéroïdes systémique ou toute autre forme de traitement immunosuppresseur dans les 7 jours avant de débuter le traitement de l’étude.
- Patiente ayant présenté une anémie de grade 3 ou 4, neutropénie ou thrombocytopénie due à une chimiothérapie antérieure, qui a persisté > 4 semaines et liée au traitement le plus récent.
- Antécédent connu de syndrome myélodysplasique (MDS) ou de leucémie myéloïde aigüe (AML).
- Antécédents d’autres tumeurs malignes invasives, preuves de la présence d’une autre tumeur maligne dans les 3 dernières années ou ayant une tumeur invasive concomitante, à l’exception du cancer de la peau sans mélanome. Les patientes ne sont pas éligibles si leur traitement antérieur contre le cancer contre-indique le traitement de l’étude.
- Fraction d’éjection ventriculaire gauche (LVEF) ≤ limite normale, définie par MUGA ou ECHO, pour les patientes devant bénéficier d’un traitement à base d’anthracycline.
- Pression artérielle anormale ou hypertension non correctement traitée et contrôlée (pression systolique > 140 mmHg et diastolique > 90 mmHg).
- Traitement antérieur par niraparib ou par un autre inhibiteur de PARP ou par des inhibiteurs PD1/PDL-1.
- Patiente ayant reçu un traitement expérimental, une immunothérapie, une chimiothérapie ou une thérapie biologique dans les 4 semaines ou dans un intervalle de temps inférieur à au moins 5 demi-vies du traitement expérimental, selon la durée la plus longue, avant la randomisation.
- Traitement hormonal dirigé contre la tumeur maligne non interrompu une semaine avant de débuter le traitement du protocole. La poursuite d’un traitement hormonal de substitution est autorisée.
- Vaccin vivant dans les 14 jours avant le début du traitement de l’étude.
- Transfusion (plaquettes ou globules rouges) ≤ 4 semaines avant le début du traitement de l’étude.
- Traitement antérieur avec le schéma de chimiothérapie choisi par l’investigateur dans le bras contrôle. Un traitement antérieur par paclitaxel administré toutes les 3 semaines est autorisé pour les patientes devant recevoir hebdomadairement du paclitaxel. Un traitement antérieur hebdomadaire par paclitaxel en cas de rechute n’est pas autorisé.
- Patientes ayant reçu plus de 3 lignes de traitements systémiques antérieurs pour la prise en charge d’un carcinosarcome ovarien ou utérin.
- Patiente ayant subi une radiothérapie couvrant plus de 20% de la moelle osseuse dans les 2 semaines précédant le premier jour du traitement du protocole, ou toute radiothérapie dans la semaine précédant le premier jour du traitement du protocole.
- Patiente ayant reçu des facteurs colonie-stimulants (par exemple facteur de stimulation des colonies de granulocytes, facteur de stimulation des colonies de granulocytes et de macrophages, ou érythropoïétine recombinante) dans les 4 semaines avant le début du traitement de l’étude.
- Infection active nécessitant un traitement par antibiotiques.
- Intervention chirurgicale majeure dans les 3 semaines avant le début du traitement du protocole ou patientes n’ayant pas récupéré complètement des effets secondaires d’une intervention chirurgicale.
- Toxicité persistante, cliniquement significative de grade > 1.
- Antécédent d’évènement indésirable lié au système immunitaire de grade ≥ 3, sous traitement par immunothérapie, à l’exception d’anomalie d’examens de laboratoire cliniquement non-significatives.
- Réactions d’hypersensibilité connues, incontrôlées, ou allergies aux médicaments expérimentaux ou à leurs excipients qui contre-indiquent la participation de la patiente à l’étude.
- Autre maladie grave qui pourrait accroitre le risque associé à la participation à l’étude ou à l’administration du traitement et qui, selon l’avis de l’investigateur, empêcherait l’inclusion de la patiente dans l’étude, y compris les maladies neurologiques, psychiatriques, infectieuses, hépatiques, rénales, ou gastrointestinales significatives, ou anomalies des examens de laboratoire. Les exemples incluent sans s’y limiter, l’arythmie ventriculaire incontrôlée, infarctus du myocarde récent (dans les 90 jours), crises épileptiques majeures non contrôlées, compression de la moelle épinière instable, syndrome de la veine cave supérieure ou tout trouble psychiatrique qui qui pourrait entraver le recueil du consentement éclairé.
- Patiente participant à une autre étude clinique interventionnel (à l’exception d’études biologiques qui doivent être validés par le promoteur).
- Toute considération d’ordre psychologique, familial, sociologique ou géographique pouvant nuire au respect du protocole de l’étude et du calendrier de suivi ; ces considérations devront être discutées avec la patiente avant la signature du consentement de l’étude.
- Patientes faisant l’objet de soins psychiatriques, et les patientes admises dans un établissement sanitaire ou social.
- Patiente privée de liberté, sous tutelle ou curatelle.
- Incapacité à avaler un traitement.
- Sérologie VIH, VHB ou VHC positive.
- Femme enceinte ou en cours d’allaitement. Les patientes doivent accepter de ne pas allaiter durant l’étude et pendant 180 jours après la dernière dose de traitement de l’étude.
Critère(s) d’évaluation principal(aux) : Meilleure stratégie thérapeutique et survie globale.
Carte des établissements
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Centre Léon Bérard
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Oncopole Claudius Regaud
20-24 rue du Pont Saint-Pierre
31052 Toulouse
Midi-Pyrénées05 61 42 41 19
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Institut de Cancérologie de Lorraine - Alexis Vautrin
6 Avenue de Bourgogne
54500 Vandoeuvre-lès-Nancy
Lorraine03 83 59 83 31
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Centre François Baclesse
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Institut de Cancérologie de l'Ouest (ICO) - Site de Saint-Herblain
boulevard Jacques Monod
44805 Saint-Herblain
Pays de la Loire02 40 67 99 49
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Centre Armoricain Radiothérapie d'Imagerie médicale et d'Oncologie (CARIO)
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Institut régional du Cancer de Montpellier (ICM) Val d'Aurelle
Parc Euromédecine
34298 Montpellier
Languedoc-Roussillon04 67 61 30 63
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Centre Jean Perrin
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Centre Eugène Marquis
Rue de la Bataille Flandres-Dunkerque
35042 Rennes
Bretagne02 99 25 32 32
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Institut Paoli-Calmettes (IPC)
232 boulevard de Sainte Marguerite
13273 Marseille
PACA04 91 22 35 37
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Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon
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Gustave Roussy (IGR)
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Hôpital de la Milétrie
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Hôpital Privé du Confluent
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Hôpital Européen Georges Pompidou (HEGP)
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Institut de Cancérologie de l'Ouest (ICO) - Centre Paul Papin
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Hôpital Jean Minjoz
3 boulevard Alexandre Fleming
25030 Besançon
Franche-Comté03 81 66 81 66
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Institut de cancérologie Strasbourg Europe (ICANS)
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Institut Bergonié
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Centre Oscar Lambret
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Institut Curie - site de Paris