PARP inhibitors and quality of life in ovarian cancer
Menés sur 553 et 295 patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire récidivant, ces deux essais de phase III évaluent, pour l'un, la toxicité du niraparib, pour l'autre, la toxicité de l'olaparib, et analysent l'impact, sur la qualité de vie des patientes, des effets indésirables de ces deux traitements d'entretien, dispensés après une chimiothérapie à base de sels de platine
Poly(ADP-ribose) polymerase (PARP) inhibitors were first reported to specifically kill BRCA1 or BRCA2-deficient cancer cells in 2005, which is an example of synthetic lethality.1,2 Since then, oral PARP inhibitors—olaparib, niraparib, and rucaparib—have been approved for the treatment of ovarian cancers and are now used in clinical practice. Olaparib treatment resulted in longer progression-free survival (median 8·4 months) for platinum-sensitive relapsed ovarian cancer in the Study 193 than placebo (4·8 months).