Bulletin n°442

Menée à l'aide d'une méthode de randomisation mendélienne et des données d'une étude d'association sur le génome entier portant sur 7 806 patients atteints d'un lymphome, cette étude analyse l'association entre des polymorphismes à simple nucléotide de 4 composés à caractère lipidique (lipoprotéines de haute densité, lipoprotéines de basse densité, cholestérol total et triglycérides) et le risque de développer la maladie, par sous-type

Menée en Europe et en Amérique du Nord à partir de données portant sur 12 868 familles dont 185 porteuses de mutations pathogènes RAD51C ou RAD51D, cette étude multicentrique analyse le risque de carcinome tubo-ovarien et de cancer du sein associés à ces mutations, en fonction de l'âge au diagnostic

Menée aux Etats-Unis à partir des données de quatre études multi-ethniques portant au total sur 6 551 patientes atteintes d'un cancer du sein et sur 7 480 témoins, cette étude analyse l'association entre des facteurs menstruels ou reproductifs et le risque de développer la maladie, en fonction du statut des récepteurs hormonaux ER/PR, de l'origine ethnique et par catégorie d'âges (plus ou moins de 50 ans)

Menée aux Etats-Unis à l'aide de données 2000-2016 des registres des cancers portant sur 3 505 personnes atteintes d'un carcinome épidermoïde cutané, cette étude analyse l'association entre le rayonnement ultraviolet ambiant et le risque de développer la maladie

Menée aux Etats-Unis auprès de 718 patients atteints d'un cancer de la tête et du cou et de 905 témoins (âge moyen : 60 ans), cette étude analyse le risque de développer la maladie chez les hommes ayant exercé la fonction de pompier (11 cas)

Menée en Australie à partir de données portant sur les émissions de polluants atmosphériques liées à l'exploitation minière du charbon sur la période 2008-2018, cette étude analyse les risques pour la santé des mineurs (pendant et en dehors des heures travaillées) et des communautés environnantes

Menée aux Etats-Unis à partir des données d'une enquête réalisée sur la période 2003-2016 auprès de 29 413 participants (âge moyen : 49 ans ; 52 % de femmes), cette étude analyse l'association entre les niveaux de mercure dans le sang et l'incidence des cancers de la peau hors mélanome (468 cas)