Bulletin n°457

Menée à partir de données clinicopathologiques portant sur 107 patients atteints d'un adénocarcinome canalaire du pancréas, cette étude met en évidence l'intérêt d'un algorithme d'apprentissage automatique, intégrant des données de clichés de tomographies numériques, pour prédire la présence de mutations au niveau du gène de la protéine p53 ainsi que l'expression anormale de PD-L1 et établir un pronostic

Menée à partir de trois séries de données portant au total sur 1 206 sections de tissus tumoraux, cette étude met en évidence l'intérêt d'une approche, utilisant un algorithme d'apprentissage automatique, pour identifier à partir d'images histologiques le sous-type moléculaire d'une tumeur colorectale

Menée en Chine auprès de 338 patientes atteintes d'un cancer du col de l'utérus et validée auprès de 141 patientes supplémentaires, cette étude évalue la performance d'un algorithme d'apprentissage automatique, utilisant des données d'images IRM pré-opératoires, pour identifier des métastases ganglionnaires

Menée à l'aide de 752 images histologiques numériques portant sur des échantillons biopsiques de prostate, cette étude évalue la performance d'un algorithme d'apprentissage automatique pour déterminer le score de Gleason d'une tumeur

Menée à partir de données de séquençage du génome entier de cellules cancéreuses issues de 183 patients atteints d'un myélome multiple traité par lénalidomide, bortézomib et dexaméthasone en combinaison ou non avec une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques, cette étude identifie des marqueurs génomiques associés à la survie des patients

Menée à partir de données portant sur 5 895 et 1 591 patientes atteintes d'un cancer du sein HR+, cette étude évalue la performance du système de score "CTS5" pour prédire le risque de récidive distante après un traitement endocrinien adjuvant d'une durée de cinq ans

Menée à partir des données de trois études portant sur 1 558 patients atteints d'un mélanome de stade avancé (âge moyen : 60 ans ; 60,6 % d'hommes), cette étude évalue l'association entre la présence d'une mutation V600E/K au niveau de la tumeur, l'utilisation antérieure d'un inhibiteur de BRAF en combinaison ou non avec un inhibiteur de MEK et l'efficacité du pembrolizumab