Bulletin n°625

Menée à partir de données portant sur 252 patients atteints d'un cancer de l'estomac, cette étude analyse l'efficacité, du point de vue de la survie globale et de la survie sans récidive à 3 ans, d'un programme de récupération améliorée après chirurgie (RAAC) pour les patients ayant subi une gastrectomie radicale mini-invasive après une chimiothérapie néoadjuvante

Menée auprès de 464 patients présentant des métastases hépatiques ayant pour origine une tumeur neuroendocrine (intestin grêle ou pancréas), cette étude analyse les résultats d'un traitement chirurgical en fonction du type de métastase (kystique ou solide)

A partir d'une revue systématique de la littérature publiée jusqu'en juin 2024 (27 essais randomisés, 8 696 patients), cette méta-analyse compare les résultats histopathologiques de différents types de résections (robotique, transanale, laparoscopique et ouverte) pour un cancer du rectum

A partir d'une revue systématique de la littérature (6 études), cette étude compare, avant et après l'opération, la qualité de vie liée à la santé chez des femmes atteintes d'un cancer du sein en fonction de la technique chirurgicale utilisée (mastectomie, mastectomie avec reconstruction mammaire ou chirurgie conservatrice)

Menée à partir de données 2011-2023 portant sur 136 patients présentant une tumeur primitive ou métastatique du foie, cette étude compare la sécurité et la faisabilité des résections hépatiques successives réalisées par laparoscopie ou assistées par robot

Mené sur 1 804 patients pédiatriques atteints d'une leucémie lymphoblastique aiguë à cellules B (âge : 1-19 ans), cet essai évalue l'efficacité, du point de vue de la survie sans événement à 5 ans et de la survie globale, de stratégies thérapeutiques à base de vincristine/dexaméthasone, de L-asparaginase ou de méthotrexate dont les doses sont intensifiées en fonction du niveau de risque de récidive de la maladie (risque faible, intermédiaire ou élévé de récidive)

Mené sur 240 patients atteints d'un cancer de l'estomac ou de la jonction oesogastrique ayant été réséqué et à haut risque de récidive (durée médiane de suivi : 25,3 mois), cet essai de phase II évalue l'efficacité, du point de vue de la survie sans maladie, et la toxicité d'une immunothérapie adjuvante à base de nivolumab et ipilimumab

A partir d'une revue systématique de la littérature (79 essais, 22 168 patients), cette méta-analyse compare l'efficacité, du point de vue de la survie sans progression et de la survie globale, et la toxicité de différentes chimiothérapies de première ligne pour prendre en charge les patients atteints d'un cancer du pancréas non résécable, de stade localement avancé ou métastatique

Mené sur 40 patients atteints d'un sarcome osseux de stade avancé (âge médian : 47 ans), cet essai multicentrique de phase II évalue l'efficacité, du point de vue de la survie sans progression à 6 mois, et la toxicité d'un traitement combinant nivolumab et sunitinib

Menée à partir de données de trois essais incluant un total de 935 patients atteints d'un mélanome de stade avancé, cette étude évalue l'efficacité, du point de vue de la survie sans progression et la survie globale à 5 ans, du nivolumab seul ou en combinaison avec l'ipilimumab

Menée dans un contexte de vie réelle à partir de données portant sur 36 patients présentant des métastases cérébrales d'un diamètre supérieur à 2 cm et ayant pour origine un cancer du poumon non à petites cellules, cette étude évalue l'efficacité, du point de vue de la survie sans progression et de la survie globale, et la toxicité d'une immunothérapie

Menée à partir de données portant sur 393 patients atteints d'un cancer du poumon à petites cellules de stade étendu et inclus dans un essai de phase I/III, cette étude analyse l'impact, sur l'efficacité d'une chimio-immunothérapie de première ligne, d'une utilisation antérieure d'antibiotiques, de probiotiques ou d'inhibiteurs de la pompe à protons

Mené en Chine sur 307 patients atteints d'un cancer différencié de la thyroïde à risque intermédiaire de récidive (âge médian : 40 ans ; durée de suivi : 8 mois), cet essai de phase III évalue la non-infériorité, du point de vue du taux de réussite, de la thyrotropine alfa par rapport à une ablation thyroïdienne par iode radioactif (iode 131)